MÉLANOME TRAITEMENT et SOIN du MÉLANOME malin sur la PEAU – Malin, Cancéreux identifier un MÉLANOME

MÉLANOME TRAITEMENT et SOIN du MÉLANOME malin sur la PEAU – Malin, Cancéreux identifier un MÉLANOME

MÉLANOME SANTÉ TRAITEMENT et SOIN du MÉLANOME
MÉLANOME Le mélanome malin est une tumeur maligne du système pigmentaire (mélanocytes) survenant soit primitivement en peau saine, soit par dégénérescence d’un naevus préexistant.

MELANOME SANTÉ TRAITEMENT et SOIN du MÉLANOME

Il arrive qu’on distingue le mélanome malin en :

  • mélanome superficiel extensif qui a l’aspect d’une tache polychrome dont les contours et la surface sont irréguliers et qui correspond à la phase de développement horizontal du mélanome malin.
  • mélanome nodulaire caractérisé cliniquement par une tumeur mélanique saillante et histologiquement par une prolifération bien circonscrite qui envahit d’emblée le derme.

Le mélanome est le cancer cutané dont la fréquence augmente le plus dans le monde. Elle double tous les 10 ans. La majorité des cas survient sur une peau saine, moins d’un quart apparaît sur naevus préexistant.
Chaque année, aux Etats-Unis, plus de 47 000 personnes sont nouvellement diagnostiquées avec un mélanome et 7 700 d’entre elles mourront de ce cancer agressif de la peau.
En France, 4 000 à 5 000 cas sont découverts tous les ans, 1 000 personnes en meurent.
La prévention et la détection précoce du mélanome sont donc essentielles.

Facteurs de risque

  • Les expositions prolongées au soleil avant l’âge de 10 ans augmentent le risque de mélanome. En cas de brûlures solaires reçues dans l’enfance, le risque de survenue ultérieure d’un mélanome double.

– Le risque de mélanome est plus élevé chez les personnes ayant des antécédents familiaux de mélanome.

  • Le phototype a également son importance : les personnes à phototype clair qui bronzent pas ou peu sont les plus menacées.
  • La présence de nombreux naevus supérieurs à 2mm sur le corps multiplie le risque par 4 ou 5 d’avoir un mélanome.
  • Les naevus atypiques sont corrélés à une augmentation du risque de mélanome.
  • Les naevus congénitaux ont un risque de transformation maligne.

Notons que la majorité des mélanomes survient sur peau saine. Les éphélides (tâches de rousseur) ne dégénèrent jamais et les naevus très rarement.

Traitement naturel

Le terpinen-4-ol, la composante principale de l’huile de Melaleuca alternifolia ( arbre à thé ), prévient la croissance in vitro de cellules cancéreuses responsables des mélanomes de la peau chez les humains.

Calcabrini A, Stingaro A, Toccacieli L, Meschini S, Marra M, Colone M, Salvatore G, Mondello F, Arancia G, Molinari A.

Laboratorio di Ultrastrutture, Istituto Superiore di Sanita, Rome, Italy.

La recherche d’approches thérapeutiques innovatrices basées sur l’usage de nouvelles substances génère un intérêt croissant dans le domaine de l’oncologie.

Lors de cette étude in vitro, le potentiel anti-néoplasique de l’arbre à thé fut mis à l’épreuve contre des cellules humaines atteintes de mélanome de type M14 WT ainsi que contre leur contreparties résistantes aux traitements, soit les cellules M14 résistantes à l’adriamicine.

Les deux types de cellules, soit les cellules résistantes et les cellules sensibles aux traitements, furent cultivées en présence d’huile d’arbre à thé à raison d’une concentration variant entre 0.005 et 0.03 %.

L’huile d’arbre à thé, tout comme sa composante active principale, le terpinen-4-ol, ont provoqué avec succès une apoptose dépendante aux caspases des cellules de mélanome et cet effet fut encore plus flagrant dans la variante des cellules résistantes.

Les analyses effectuées par cryofracture et par microscopie électronique à balayage suggèrent une médiation de l’effet de l’huile d’arbre à thé et du terpinen-4-ol par leur interaction avec les membranes plasmiques et par la réorganisation subséquente des lipides de ces membranes.

En conclusion, l’huile d’arbre à thé ainsi que le terpinen-4-ol ont la capacité d’empêcher la croissance des cellules humaines de mélanomes de type M14, et sont apparemment plus efficaces contre la variante des cellules résistantes, qui expriment des taux élevés de glycoprotéine-P dans les membranes plasmiques, défiant toute résistance à l’apoptose dépendante aux caspases exercée par les cellules néoplasiques contentant la glycoprotéine-P.